Une thérapie adaptée à votre histoire
On me demande souvent quelles situations j'accompagne. Ma réponse reste toujours la-même : Toutes, sauf si je sens que ma compétence ne sera pas adaptée.
Certaines personnes que j'accompagne se sentent coupé.e de leurs émotions. D'autres au contraire, hypersensibles, sont régulièrement submergées. Certaines ont un corps très réactif et d'autre un mental omniprésent. Dans tous les cas je m'adapte et fais selon les capacités.
Pour illustrer cette diversité, j'ai regroupé quelques situations vécues. Les prénoms sont fictifs mais chaque personne m'a donné son accord. Je ne vous cache pas qu'en écrivant ces bouts d'histoire, j'ai ressenti autant de l'admiration pour leur courage et de la fierté pour mon travail.
Déconstruire la croyance qu'il doit être parfait pour mériter d'être aimé
Alexandre est un jeune homme qui ressentait une pression forte venant de son exigence. Pour cette exigence rien n'était assez parfait. Au point qu'il devait tout faire seul et que le mental prenais souvent le dessus. Il vivait avec la croyance qu'il devait être un pilier sur lequel les autres pouvaient s'appuyer. Cette pression lui faisait remettre de plus en plus de choses à plus tard et le coupait de ses émotions.
Alexandre M.
Parvenir à mobiliser ses ressources intérieures malgré ses angoisses intenses
Lilou porte des traumatismes personnels liés à des abus qu'elle cherche à clarifier et soigner. Sa confiance a été trahie et elle vit ce moment comme une dernière chance. Des parts d'elle doutent de son vécu et portent une culpabilité. Le courage et le besoin de comprendre lui font en parallèle mener un important travail de recherche et de compréhension d'autres abus qu'ont vécu des membres de sa famille sur plusieurs générations.
Lilou
Prendre enfin du temps pour s'occuper d'un manque affectif
Jean a passé l'âge de la retraite et est venu me consulter avec une envie de prendre (enfin) soin de lui. Il sentait depuis longtemps des "choses" en lui qu'il avait mis de côté : la sensation d'avoir un manque affectif profond et le constat d'une difficulté à créer des liens avec les autres. Ce n'était pas de la phobie sociale mais cela s'en approchait. C'était en tout cas plus fort que lui.
Jean V.
Retrouver de l'apaisement en allant voir ce poids qui la freinait
Ludivine vivait une période traumatisante liée à un isolement accru par le confinement Covid et à un problème cardiaque. Elle se sentait perdue et ne parvenait pas à comprendre ce poids qui l'empêchait d'avancer. Développant même un sentiment de colère envers elle-même. Il devenait urgent de prendre soin d'elle et d'aller voir les parts d'elles qui la mettait en si grande difficulté.
Ludivine M.
Quand la conscience ne suffit plus et que le corps dit stop
Mia avait déjà fait un gros chemin avec l’IFS. Elle connaissait bien ses parts, ses schémas, ses blessures. Mais malgré ça, elle se retrouvait encore souvent prise dans une spirale d’auto-critique, de doute, de sur-adaptation. À vouloir trop bien faire, elle finissait vidée, éparpillée. Il devenait important pour elle d'être aidée pour souffler et remettre du calme là où il y avait du chaos. De réapprendre à avancer, mais avec plus de douceur. Plus de respect pour elle.
Mia G.
Passer concrètement à l'action pour retrouver un emploi
Hervé était un jeune papa. Sa sensibilité émotionnelle et ses peurs le maintenaient dans un statut quo qui était autant source de repos que d'angoisse. La situation était devenue trop difficile à vivre et il percevait le regard des autres comme un jugement. Au fond de lui il ressentait une culpabilité de plus en plus forte et voyait que la situation ne pouvait plus durer sans mettre en risque sa vie de famille.
Hervé R.
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